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  • JOËL EST PARTI

    par Daniel J. Berger | Sep 12, 2018

    Joël Damond faisait partie du groupe d’amateurs ‘mtonvin’, qu’il avait guidé dans cette Toscane qu’il  redécouvrait après y avoir séjourné professionnellement de nombreuses années, à Florence.

    Joel DamondEn sa compagnie, nous avons sillonné les collines, nous arrêtant à Bolgheri pour les supertoscans qu’on dégustait devant l’île d’Elbe.
    Puis à Montalcino où nous avons fait la connaissance du « Brunello » de la belle et talentueuse Stella di Campalto (marraine de ce blog) et des domaines Poggio San Polo, Angelini et Pacenti Siro.
    Et nous avions pris deux jours pour découvrir le nobile et le rosso de Montalcino et le « chianti classico », nom local du sangiovese.

    Il nous a quittés il y a quelques jours, après de longs mois d’un  combat courageux contre le cancer qui avariait pan après pan son corps affaibli par les traitements, qu’il subissait avec ironie d’hôpital en hôpital autour d’Angers. Hier un dernier hommage lui a été rendu devant son cercueil à Cossé-en-Champagne, près de la maison où il avait vécu avec son adorable épouse Marie-Claire : ensemble ils avaient relancé le petit sablé de la Maison Drans à Sablé-sur-Sarthe.

    Joël s’était formé le palais dans la cave de son père qui renfermait des Chinon de toutes sortes. Il aimait ce vin avant tous les autres, en particulier les Clos de l’Écho et Clos de l’Olive et les différentes cuvées des vignerons exploitant les parcelles des Picasses.

    Peu avant de partir, il a tenu à déguster un échantillon de la cuvée mtonvin’, le Marquis de Saint-Estèphe 2016 dont il avait réservé 36 bouteilles.

    Ciao bello.

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  • SAMEDI À MUSICA VINI: L’ACCORD PARFAIT

    par Daniel J. Berger | Sep 5, 2018

    L'accord-parfait-Watteau

    WATTEAU – L’ACCORD PARFAIT – 1756

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  • MUSICA VINI : DANS UNE SEMAINE

    par Daniel J. Berger | Août 31, 2018

    SAMEDI 8.09, Château de PESCHESEUL à Avoise
    à 10 km de SABLÉ-sur-SARTHE. Entrée 20 €.

    RÉSERVATION sur musicavini.fr

    Affiche Musica Vini

    — TROIS CONCERTS-DÉGUSTATIONS de 15h à 19h : jazz – trio Johann Lefèvre + Anjou; improvisations – quatuor Offrandes + Bordeaux; baroque – duo Le Bigraphe – Anne-Emmanuelle Davy (soprano) – Thibault Périard (percussion) + Saint-Emilion

     

     

    — Visite des abords de Pescheseul à l’entracte, guidée par la famille d’Amécourt

     

    — Dîner 20h avec les trompes de chasse des « Échos de la Forêt » : réservation sur musicavini.fr, paiement sur place

     

    DONS à l’association Musica Vini (défiscalisés) : page DONNEZ

     

     

    Il est FORTEMENT CONSEILLÉ DE SE PRÉSENTER DÈS 14h30

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  • INTROUVABLE VIN SUISSE

    par Daniel J. Berger | Août 2, 2018

    D’après une communication du Concours Mondial de Bruxelles 1er Août 2018

     

    Les données 2015 de l’Institut du Vin placent la Suisse au 28ème rang mondial pour la production de vin, soit 0,35 % de la production mondiale. En 2016, elle a produit 108 millions de litres, exportés à seulement un peu plus de 1% : le vin suisse n’est trouvable que sur place.

    Vignoble-suisse

    Vignoble suisse ouvert sur le Léman

    Un tiers des vins consommés en Suisse sont produits dans le pays, le restant est importé. Selon Henry Grosjean des Caves du Château d’Auvernier à Neuchâtel, l’un des principaux défis de la viticulture suisse est de « se faire connaître » et de rendre les vins suisses plus accessibles au monde extérieur. Les organismes Swiss Wine Promotion et GastroSuisse développent un projet intitulé Swiss Wine Campus qui propose de rencontrer des viticulteurs helvétiques, d’apprendre à consommer et de passer des examens reconnus par la profession.

    Grosjean reconnaît qu’il est fréquent­­ chez les professionnels du négoce et de la restauration de recommander des vins étrangers plutôt que nationaux : « le but des vignerons suisses n’est pas de remplacer au restaurant ou chez le caviste un vin suisse par un autre vin suisse mais d’élargir leur visibilité en simplifiant l’accès au consommateurs, » commente-t-il. « Les amateurs doivent regagner confiance dans le vin suisse, les jeunes consommateurs s’identifier au vin de leur pays, et les viticulteurs écouter les consommateurs et s’adapter à leurs attentes. »

    En 2016, 185 millions de litres de vin importés
    soit 123 millions de litres de rouge, 39 millions de blanc et 22 de doux et pétillant. Les importations les plus importantes proviennent d’Italie (74 Ml ou 40 %), de France (39, 21 %), d’Espagne (32, 17 %) et du Portugal (11, 6 %). Daniel Dufaux de Badoux Vin à Aigle dans le canton de Vaud estime que le principal enjeu du marché est de récupérer des parts de marché sur les vins étrangers.  Le marché suisse a des avantages : les Suisses sont  consommateurs, ils ont la culture du vin et un fort pouvoir d’achat. “Si les vignerons suisses arrivaient à récupérer des parts de marché et à augmenter un peu leur marge, ils investiraient davantage dans la promotion, gagneraient en visibilité et élargiraient leurs ventes,” commente-t-il. “Bien que nous soyons un petit-pays-montagnard-viticole, moins connu que certaines régions françaises par exemple, nous disposons d’un savoir faire fondé sur la précision,” conclut Daniel Dufaux.

    Quasi entièrement consommé dans le pays
    Au cours des vingt dernières années, les exportations ont représenté entre 1 % et 2 % de la production : en 2016 par exemple, les exportations n’ont représenté que 1,1 %. Malgré ce très faible pourcentage en raison de la demande intérieure et des coûts de production, l’industrie vinicole helvétique fonctionne “avec l’efficacité d’une montre Rolex et offre une qualité irréprochable.” Mais  de nombreux négociants ont réalisé que l’exportation doit faire partie de leur stratégie de développement.

    Six régions viticoles

    Infographie

    Le Valais est la plus importante région avec 33 % du total, suivi du canton de Vaud (25 %), de la Suisse alémanique (19 %) et de Genève (10 %). Le Tessin produit 7 % et la région des Trois Lacs 5 %. Le vin de Suisse est produit dans un climat frais sur un terroir alpin (les Alpes occupent les 2/3 du pays) et dont les vignobles se situent relativement haut (270 m au Tessin, 1 100 m en Valais) avec des pentes abruptes. En hiver, la neige recouvre fréquemment les vignes (ci-dessous).

    Valais hiver

    Selon Gilles Besse du Domaine Jean-René Germanier  en Valais, le principal défi réside dans les coûts de production très élevés dus à la configuration géographique helvétique. “Nos vignobles sont situés au pied des montagnes, sur des terrasses et des parcelles fragmentées.” Pour équilibrer ces coûts, les vins suisses se positionnent en catégorie premium pour bénéficier d’une reconnaissance internationale : “les concours internationaux tels le Mondial de Bruxelles nous aident à vendre nos produits à l’étranger et à rendre les Suisses fiers de leurs vins, ” déclare Besse, ajoutant que bien qu’en raison du climat il soit difficile de produire en bio, c’est un autre défi à relever.

    Les cépages
    Il existe de nombreux cépages en Suisse : plus de 250 sur 15 000 hectares de vignes (0,4 % de la surface totale du pays). Cela peut sembler minuscule mais d’après Swiss Wine Promotion, cette proportion place la Suisse au 10ème rang mondial selon le ratio vignoble /pays / surface. D’après l’ampélographe José Vouillamoz, 80 cépages sont “indigènes” dont “59 sont des croisements et 21 des cépages du patrimoine helvétique. ”

    Infographie Cépages

    Les cépages les plus cultivés sont le pinot noir (rouge) et le chasselas (blanc) qui représentent respectivement 28 et 26 % de la production totale. Autres cépages : gamay, merlot, humagne rouge, petite arvine, savagnin blanc, gamaret, garanoir, pinot gris. Les quatre cépages les plus cultivés sont le pinot noir, le chasselas (indigène), le gamay et le merlot, représentant 72 % du total du vignoble. Les cépages universels tels le chardonnay, le sauvignon et la syrah permettent aux producteurs de démontrer dans des comparaisons internationales la qualité de leur terroir et leur savoir faire, affirme Swiss Wine Promotion.

    Plus de 1 800 producteurs
    Selon Henry Grosjean, les deux tendances de la viticulture suisse sont le développement durable et les vins produits localement. “Dans les grottes du Château d’Auvernier, le développement durable est primordial dans chaque décision que nous prenons. Un nouvel entrepôt a été équipé de tuiles photovoltaïques fournissant désormais 1/3 de l’énergie nécessaire à la vinification. Et nous n’utilisons plus d’insecticides. ” Le château d’Auvernier propose différents vins, dont un seul en assemblage : “les vins issus de la sélection parcellaire sont de plus en plus en vogue, cela fait partie de la tendance générale de regain d’intérêt pour les produits de terroir, notamment en Suisse romande et de plus en plus en Suisse alémanique,” dit-il en conclusion.

    La Suisse au CMB
    La Suisse a participé pour la 1ère fois au Concours Mondial  de Bruxelles en 2006 et figure depuis parmi les 10 premiers pays en nombre d’échantillons présentés. En 2017 elle a gagné 42 médailles, dont 3 Grand Or. La plupart des vins primés proviennent du Valais et du canton de Vaud. En 2018, les vins suisses ont reçu 49 médailles. C’est le chasselas indigène qui a obtenu le plus grand nombre de médailles (11). Le pinot noir s’est classé au 2nd rang (10 médailles). La prochaine édition du CMB aura lieu en mai 2019, à Aigle, dans le canton de Vaud où le chasselas indigène, cépage roi, y représente 60 % de la production.

     

     

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  • WHY YOU SHOULD BE DRINKING WEIRD WINES

    par mtvadmin | Juil 18, 2018

    By JASON WILSON | The New York Times | May 26, 2018

    In recent years, you may have noticed some unfamiliar names on wine lists alongside your usual chardonnays and pinot noirs — strange, hard-to-pronounce grapes from places where, until recently, many people didn’t even realize wine was made.

    The trend has been around long enough that some of the names, like albariño from Spain or grüner veltliner from Austria, are considered old hat by serious wine enthusiasts.  Nowadays, the trendy names include juhfark, from Hungary; obaideh, from Lebanon; chasselas, from Switzerland; and saperavi, from the republic of Georgia.

    Some of this newfound love for obscure grapes can be overbearing, a way for wine geeks to draw a line between those who drink pinot grigio — “book club wine,” I’ve heard it called — and the true connoisseur.  Still, whether they mean to or not, the snobs may be onto something.  In seeking out the rare and arcane, wine geekery may actually be leading us toward richer biodiversity and sustainability, and perhaps even a more enjoyable drinking experience.

    Merlin

    Credit Alicia Adamerovich

    For years, the global wine industry had been devolving toward a monoculture, with local grape varieties ripped out in favor of more immediately profitable, mass-market types.  There are 1,368 known wine grape varieties, but nearly 80% of the world’s wine is made from just 20 kinds of grapes.  Many of the rest face extinction.

    Yet in small geographic pockets, winegrowers have stuck with their native varieties.  It’s probably not a surprise that the kind of winemakers who grow obscure grapes are often the same ones who are committed to organic farming, hand harvesting and natural winemaking techniques.

    I spent some time recently in the Swiss Alps with a man named José Vouillamoz, a world-renowned geneticist and botanist.  He’s also a co-author of the encyclopedic tome Wine Grapes: A Complete Guide to 1,368 Vine Varieties, Including Their Origins and Flavors.  Needless to say, he knows a lot about a lot of grape varieties, but that day we were talking about Swiss wine.

    Switzerland is hardly a wine powerhouse, and only 2% of its wines are exported.  Mr. Vouillamoz poured me what he called “one of the rarest wines in the world,” made from a grape called himbertscha, which he’d helped rescue from a forgotten vineyard high in the Alps.  Its two acres represent all that’s left of himbertscha vines, from which less than 800 bottles are made each year.

    Himbertscha is one of the strangest white wines I have ever tasted — like a forest floor that’s been spritzed with lemon and Nutella. “Critics claim that obscure varieties like this will never be as good as Bordeaux or Burgundy,” Mr. Vouillamoz said.  But tastes change. “What about in 50 years? One hundred years?”

    My question was different: Why had grapes like himbertscha nearly disappeared in the first place?

    “People became ashamed of the old-time grapes, the grapes of grandpa,” Mr. Vouillamoz said.  “They began planting the so-called noble grapes, and they would disregard the rest,” — “Noble” is the historic designation for grapes like chardonnay, sauvignon blanc and pinot noir that made Bordeaux and Burgundy famous and are now grown everywhere from California to Australia to South Africa to China.

    Offsprings-Gouais-Blanc

    Wine has long been tied to power and money.  Mr. Vouillamoz poured a wine made from gouais blanc, a white grape that had been banned across Europe, by various royal decrees, since the Middle Ages.  Monarchs considered it a peasant grape that made bad wine — “gou” in medieval French was a term of derision.  Through DNA testing, though, gouais blanc was found to be the “mother” of around 80 modern varieties, including chardonnay (above).

    Throughout the centuries, one monarchy after another decided which noble grapes were to be grown, and then they outlawed others. In the Holy Roman Empire, Frankish wines were favored over ones that were Heunisch (“from the Huns”), a pejorative describing anything from the eastern Slavic lands.

    In 1395, the Duke of Burgundy banned gamay (“a very bad and disloyal variety”) and insisted that only pinot noir be planted.  For hundreds of years, the wines of the Habsburg Empire were counted among the world’s most important; once the empire fell, many of its wines were forgotten for almost a century.

    Wine has always been intertwined with such geopolitics.  Why, for example, don’t more people know about the delicious and good-value wines of southwest France, made from such grapes as braucol from Gaillac, tannat from Madiran, or négrette from Fronton?

    Well, back in the 13th and 14th centuries, the merchants of Bordeaux began to see the wines of southwest France as a threat to their economic interests.  So Bordeaux, wanting to keep its dominance over the wine trade with England, decreed that no wine could be traded out of Bordeaux until the majority of Bordelais wine had already been sold.  This dealt a crushing blow to the winemakers in southwest France, while keeping the Bordeaux wines, made from noble grapes like cabernet sauvignon, merlot and sauvignon blanc, on top.

    OndencVerdesseBraucolVieux cépages

    When the winemakers in southwest France could no longer sell wine at premium prices, those areas settled into a provincial backwater.  Some of the growers ripped out their vineyards and replanted with noble grapes.  Others continued to work with local grapes and made low-cost, everyday “peasant” wine.  The rest of the world mostly forgot about braucol and négrette and tannat.  Because of Bordeaux’s power and influence, it’s taken more than 500 years for us wine geeks to rediscover the indigenous wines of southwest France.

    Not everyone in the wine world thinks this revival of obscure grapes is a great thing.  A few years ago, the influential wine critic Robert Parker, who has made a career promoting noble grape varietals, scolded those of us who enthusiastically embrace such “godforsaken grapes” as “Euro-elitists.”  This was power speaking, the influential gatekeeper positioned just like the monarchs of old.

    But Mr. Parker is on the wrong side of history.  Those blaufränkisches and rkatsitelis on your wine list aren’t going away.  Every new grape you’ve never tasted before offers the chance to experience a new flavor — not to mention the environmental benefits of a more diverse and sustainable industry.  In this increasingly globalized, homogenized world, that’s not just a matter of snobbery.

    Mr. Wilson writes about wine and spirits.
    Read also In the beginning was the grape by Jancis Robinson.

    Addendum. While Western drinkers may look for new old varieties as observed by Messrs. Wilson and Vouillamoz and by Mrs. Robinson, Asian countries as below in Myanmar (Burma) rely on old new French varieties and winemakers.

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  • 6ème CUVÉE SPÉCIALE : C’EST UN SAINT-ESTÈPHE

    par Daniel J. Berger | Mai 16, 2018

    2016 est un millésime-sommet, le consensus est général à Bordeaux et la demande est forte. Une cuvée spéciale ‘Mtonvin’ s’est donc vite imposée, et cette fois dans une appellation prestigieuse : nous avons identifié un Saint-Estèphe au meilleur rapport Q/P — principe et raison d’être de nos cuvées — de cette année exceptionnelle.

    En janvier un groupe de cinq dégustateurs « qualifiés ‘Mtonvin' » est parti rayonner pendant trois jours sur les terroirs très divers de cette AOC un peu à part, la plus petite appellation du Médoc en surface (1 250 ha, 50 exploitations et 5 crus classés), où le merlot est plus présent que le cabernet-sauvignon, car il correspond mieux aux zones argileuses plus nombreuses ici que les graves. Nous avons goûté une bonne dizaine de vins en recherchant méthodiquement la pépite (*).

    Nous avons eu du mal à la débusquer, mais nous l’avons trouvée: il s’agit du Marquis de Saint-Estèphe. On nous avait pourtant prévenu qu’il serait impossible de trouver un St-Estèphe 2016 à un prix raisonnable, même en réservant 8 000 b.

    Le Marquis de Saint-Estèphe 2016 est leste, goûteux, charnu, déjà puissant. Sa générosité et son ampleur aromatique généreuse vont s’épanouir pendant une vingtaine d’années et plus, fidèle à son antienne « Noblesse oblige, noblesse demeure » !

    La campagne s’est ouverte le 15 mai et sera close le w-e du 1er juillet, pour une livraison avant les fêtes de fin d’année, autour de la Toussaint.
    Le démarrage a été immédiat, 1 500 b sont déjà retenues. Si vous souhaitez réserver, laissez un commentaire avec une adresse courriel.

    (*) et notamment « Préface », 2ème de Château Tour de Termes, L’Argilus du Roi, plusieurs de la gamme de Château La Haye, le 2ème de Cos Labory, le 2ème de Domeyne, « Faget », ainsi que des vins commercialisés par La Passion des Terroirs (Lucien Lurton) comme Les Hauts de Pez.

     

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