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  • ROMORANTIN, 500 ANS APRÈS

    par mtvadmin | Juil 24, 2019

    HERVÉ LALAU | Les 5 du Vin | 24 juillet 2019

    De passage à Cheverny, je n’ai pu m’empêcher de prendre contact avec la vedette locale
    – non, je ne parle pas de Tintin à Moulinsart, mais du
    romorantin, le cépage identitaire de l’appellation Cour-Cheverny où il fête les cinq siècles de son arrivée ici.

     

     

     

     

     

     

     

    Son histoire est intéressante. Fils du gouais, comme tant de cépages français, il est aussi fils du pinot noir, ce qui en fait un frère du chardonnay, de l’aligoté et du melon de Bourgogne, qui ont les mêmes parents. C’est d’ailleurs de Bourgogne qu’il arrive à Romorantin, apporté à la demande de François Ier, qui voulut un temps faire de la petite bourgade solognote sa capitale et y construire son château idéal, vignes comprises. Avant de se rabattre sur Chambord. On peut donc dater précisément son arrivée dans la région : c’était en 1519, cinq siècles tout juste !

    Aujourd’hui, on en trouve sur une soixantaine d’hectares, entre Cormeray au Sud et Montlivaut au Nord, sur une bande de terres sableuses et siliceuses qui longe la Loire jusqu’aux abords de la Sologne, sur une dizaine de kilomètres.

    Vieilles vignes !
    Autre fait saillant dans la longue histoire du romorantin : à Soings-en-Sologne, au Domaine de la Charmoise, Henri Marionnet en possède 36 ares, 36 ares qui n’auraient sans doute pas atteint une telle célébrité s’il ne s’agissait de vignes franc de pied, pré-phylloxéra et donc probablement, parmi les plus vieilles vignes de France.

    IMG_9517.jpeg

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    A noter que depuis quelques années, on replante du romorantin sur le domaine du Château de Chambord lui-même (ci-dessus). Il s’agit là plus que d’un clin d’œil à l’histoire, mais d’une véritable renaissance (sans jeu de mots). Pour le 500ème anniversaire du château (et du romorantin en Loire), ce sont 7,5 hectares qui devraient rentrer en exploitation, dont une bonne partie en franc de pied, la première récolte devant ce faire cette année.

    En attendant, j’ai dégusté trois exemplaires de vins déjà à la vente, en sec et en demi-sec.

     

    Domaine de la Champinière / Cour-Cheverny 2018
    Preuve que les notes de dégustation n’ont parfois pas grand-chose avec la géologie, ce vin de sables m’a paru très minéral, au sens de roche, de pierre à fusil. Il est bien sec, mais ses jolies notes florales, au nez comme en bouche, tempèrent cet aspect un peu brut de décoffrage. Il y a de la subtilité dans ce vin encore tout jeune, qu’on peut résolument garder en cave.

    Alain Chéry exploite ce domaine familial de 14 ha, situé à Cour-Cheverny, et qui produit des vins des deux appellations Cheverny et Cour-Cheverny.

    Prix à la Maison des Vins de Cheverny : 9,40 €.

     

     

     

    Benoît Daridan / Cour-Cheverny Vieilles Vignes 2016
    « Miel et fleurs blanches », promet la contre-étiquette. Pas faux, dirais-je. Mais si ce nez charmeur laisse imaginer une bouche un peu molle, la suite dément formellement: ce vin est à la fois structuré et plein de vivacité.

    Situé à Cour-Cheverny, le domaine Daridan compte 21 hectares. Une petite partie de la cuvée (20% environ) est élevée en bois.

    Prix à la Maison des Vins de Cheverny (pour le millésime 2017) : 11,10 €.

     

     

     

    Domaine du Vardet, Cour-Cheverny demi sec
    La douceur du roi 2017
    La pomme est un arôme assez fréquemment perçu dans les vins, mais souvent, dans le style granny smith, pomme verte ; alors qu’ici, on a plutôt la version douce, golden. La bouche ajoute des notes de fleurs de sureau et d’acacia. Cette cuvée est issue de raisins récoltés en sur-maturité ; sa douceur est très bien fondue ; un style de vin délicat, assez, plus tendre que sucré, qui se prête aussi bien à l’apéritif qu’au repas.

    Le Domaine du Vardet (8 hectares à Mont-près-Chambord répartis entre Cheverny et Cour-Cheverny) appartient à la famille Morin.

    Prix à la Maison des Vins de Cheverny : 9,90 €.

     

    Une deuxième vie ?
    Si vous passez à Cheverny ou à Chambord cet été, profitez-en pour vous faire votre propre idée sur ce petit frère de l’incontournable chardonnay. En dégustant un romorantin, vous marcherez dans les traces de François 1er. La salamandre, animal fétiche de ce roi, n’était-elle pas censée renaître de ses cendres ?

    Plus d’info : Maison des Vins de Cheverny
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  • ROSÉ CABERNET D’ANJOU BASHING ?

    par mtvadmin | Juil 23, 2019

    VITISPHÈRE  | Alexandre Abellan | 17 07 2019
    Les rosés représentent désormais le quart de la production des vins du Val de Loire, le Cabernet d’Anjou comptant pour les 2/3 de ces volumes (315 000 hl).Les rosés représentent désormais le quart de la production des vins du Val de Loire, le Cabernet d’Anjou comptant pour les 2/3 de ce volume (315 000 hl) — Crédit photo InterLoire

    Rosé : les ventes de cabernet d’Anjou devancent celles des côtes de Provence en GD.
    Avec la douceur qui la caractérise, l’appellation ligérienne Cabernet d’Anjou continue sa croissance progressive dans les linéaires de la grande distribution. Tandis que l’AOC provençale s’y replie, lésée par des prix toujours plus élevés.

    Dépassant de 785 hectolitres, les ventes de Côtes-de-Provence sur l’année mobile s’achevant en avril 2019, le Cabernet Anjou devient, en volume, le premier vin rosé d’AOC vendu en hyper et supermarché. Avec 198 190 hl, il représente désormais 20,3 % des ventes de rosés AOC en grande distribution, dans la lignée d’une croissance progressive ces dernières années (19 % sur la période précédente, 18 % avant). Les rosés de Côtes-de-Provence descendent à 20,1 % de parts de marché, dans la trajectoire d’un fort repli (22 % sur la période précédente, 25 % avant).

    En termes de présence en linéaire, les deux appellations sont équivalentes, avec plus de références pour les Côtes-de-Provence de 15,5 en moyenne (7 pour le Cabernet d’Anjou) et à l’inverse plus de volumes par référence pour le Cabernet d’Anjou (30,3 litres, contre 13,7 pour les Côtes-de-Provence).

    Le prix de vente
    « Avec un prix de vente plus accessible et plus stable, l’AOC Cabernet d’Anjou fait ses preuves auprès des consommateurs et se crée une vraie place sur le secteur très concurrentiel des vins rosés » souligne un communiqué de Loire Propriétés, qui revendique le titre de premier opérateur de l’appellation rosée tendre. Si le Cabernet Anjou affiche un prix de vente moyen de 3,73 €/b (+2,4 % en un an), les Côtes-de-Provence sont en moyenne à 5,71 €/b (+ 14,2 %). NB. L’AOC provençale reste leader en valeur (150 M€ de CA), devant le rosé tendre angevin (98,9 M€).

    Bashing
    Malgré ces performances, « le Cabernet d’Anjou souffre encore trop d’une sorte de bashing de la part de la profession. Demandez à n’importe quel journaliste spécialisé dans le vin, acheteur, caviste, sommelier ce qu’il pense du Cabernet d’Anjou… Vous verrez ! C’est ne pas tenir compte des consommateurs que d’ignorer cette belle appellation » plaide dans un communiqué Bruno Prévot, directeur commercial de Loire Propriétés.

    Note from Jim Budd
    A British blogger and cyclist, living in Anjou for a long time and outstanding connaisseur of the Loire Valley wines

    Cabernet d’Anjou is the Loire’s most important rosé with 5 794 hectares in production in 2016. This compares to 2 019 hectares for Rosé d’Anjou.  Apparently Cabernet d’Anjou now outsells Côte de Provence Rosé.  Presumably this is the case in France.  It is not so however in the UK where a check on the excellent Wine-Searcher site shows only 14 listings for Cabernet d’Anjou compared to at least 10 pages of listings for Côtes de Provence.

    Despite this commercial success in the home market, Bruno Prévot, commercial director of Loire Propriétés (Bellevigne-en-Layon) a leading producer of Cabernet d’Anjou, accuses drinks writers of being snooty about Cabernet d’Anjou and of ‘bashing’ the wines.
    Looking up the entry in the 2019 Hugh Johnson’s Pocket Wine Book, which is now in its 42nd year with some 12 million copies sold worldwide — Cabernet d’Anjou: *** DYA (Drink Youngest one Available) demi-sec to sweet rosé. Locally popular style, pre-siesta summer quaffing, remarkable old vintages 1947 and 49 (***) * –, I detect no Cabernet d’Anjou « bashing » here…

    * It’s in the stars: *= plain everyday quality; ** = above average; *** = well known, highly reputed.
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  • ET LES VIGNES OGM ?

    par mtvadmin | Juil 22, 2019

    On parle beaucoup de recherche de cépages mieux résistants au réchauffement mais rarement d’OGM : c’est tabou. La modification génétique pourrait-elle contribuer à trouver des options et notamment à contenir la montée en alcool dans le vin sous les 15° et réduire les maladies de la vigne ?
    Nous avons retrouvé un article du spécialiste britannique James Lawrence  posté sur le sujet en octobre dernier. Les Anglais connaissent la vigne de France mieux que tout le monde, d’abord parce qu’ils ont bu du Bordeaux avant les Français à l’époque d’Aliénor d’Aquitaine, et du French Claret dès le XVIIIème siècle. Et ils ont un vignoble dont la superficie ne cesse d’augmenter.

    FRENCH WINE’S HYBRID DILEMMA

    By James Lawrence | Posted Monday, 08-Oct-2018 © worldwide-vineyards.com |

    Genetic modification will always be controversial especially when it comes to traditional wine regions. Genetic engineering could change the viticultural landscape.
    The history of plant breeding and genetic engineering took a surprising turn last month, when the French government authorized the introduction of new hybrid grape varieties into the country’s viticultural landscape.

    Four varieties – Floréal, Vidoc, Voltis and Artaban – were developed by the French National Institute for Agronomic Research (INRA), who decided to play god with the intention of increasing the circulation of disease-resistant grapes in French vineyards.

    Designed to be resistant to downy and powdery mildew, the news came as vignerons were bemoaning the scourge of downy mildew, which has been an unwelcome guest at chateaux across France during the 2018 growing season.

    Yet over the last few decades, the very mention of the word « hybrid » has led to swift banishment from your host’s boudoir. Germany and California are forever playing with the genes of the vine, the endless quest for greater profit margins resulting from disease resistance and higher yields.

    France, though, largely wanted nothing to do with the « rape » of Vitis Vinifera in the late 20th century, and their opposition to hybrids and crosses arguably played some role in slowing the development of the genetic manipulation of the vine.

    Many would argue they had simply learned from their past mistakes – fungus-resistant hybrids were developed in the 19th Century and by the 1960s they were being used in over 30 percent of French vineyards.

    Indeed, hybrids such as Villard Noir and Seyval Blanc – the latter once an important part of the UK’s industry – were prolific in southern France, much loved because of their generous yields and resistance to downy mildew. Whether Baco Noir, Plantet and Chambourcin produced decent-quality wine is of course another question entirely, and by the 21st century they had been virtually eradicated from French vineyards.

    But in a zeitgeist where climate change and the (perceived) excessive usage of chemicals in French vineyards are a constant sources of controversy, the hybrid debate has been reopened. Several leading winemakers have come out in support of the initiative, somewhat to my surprise. Others simply refused to comment.  « My reaction is simple: finally, not a moment too soon, » says winemaker Laurent Delaunay.  « Vine degeneration and vine diseases such as esca are causing, in certain regions, up to 20% of loss of harvest. Since the only cure we currently have against esca, sodium arsenite, was banned for obvious reasons, the industry has lacked a viable solution. New grape varieties including hybrids are one of the answers to these challenges and it’s a shame that, contrary to what happens in other countries like Switzerland, which is well ahead of schedule, everything in France takes so long. »

    Once bitten, twice shy Delaunay.  France’s era of widespread hybrid plantation involved many crosses between the European Vitis Vinifera and American varieties of vine – good for the bank balance perhaps, but hardly up to the challenge of producing quality wine.  « This era doesn’t hold good memories for the French industry, » he admits.  « Some hybrids were dangerous for your health as they were producing high levels of methanol and also, secondly, because they were creating severe imbalances in the market.  However, new species of hybrids have been carefully selected and tested in order to avoid these downsides. »

    Nevertheless, Delaunay concedes that he would consider planting these new hybrid varieties « only as an experiment, » citing the fact that consumers need time to get used to these new faces, should they become a permanent feature of the French landscape.

    Currently, the AOC framework forbids the use of hybrids, so don’t expect to see Chambertin or Morgon derived from Villard Noir any time soon. When I put the question of hybrids to Louis Jadot, their response was instant and terse – « We won’t be using them. »

    Alastair Rimmer, winemaker at Kleine Zalze (Stellenbosch, South Africa): « I am a bit on the fence about them. In certain instances disease resistance and drought resistance is of value but I think it is sometimes more to do with the rootstock than the grape variety… I personally worry it is just sometimes a case of something new for something new’s sake and not actually significantly better. »

    Resistance towards disease is one of the benefits genetic engineering can bring. © Biddenden Vineyards – Kent

    And so the arguments rage on. There are many possible outcomes of French growers adopting these new hybrid varieties in significant numbers, but consensus is not one of them. The idea of Floréal or Vidoc becoming household names seems ludicrous today, and the wine community clearly needs a few vintages under its belt before judgment can be dispensed regarding their potential for quality winemaking.

    Moreover, many of those in favor of the initiative simultaneously deny any interest in planting the grapes on their land, even to make Vin de France, hardly an exalted designation.

    However, Delaunay and others are still convinced that this is the correct way forward for the industry, particularly in light of growing concerns about chemical usage in viticultural management. « A key challenge is to be able to produce grapes and make wines in a more environmentally friendly and organic way, as our consumers are asking us to do this, and to reduce the use of chemicals in the vineyards. Hybrids help facilitate this and so are the way of the future, » says he.

    « The fact that the French are allowing the introduction of new hybrid varietals are a sign of more changes to come, » observes Wim Truter, chief winemaker at KWV (Ko-operatieve Wijnbouwers Vereniging in South Africa).

    « I do however think that hybrids are only the start compared to the genetic research that is being done to tailor make a vine. It ends up as an ethical debate – plant a genetically engineered plant that needs no spays and has no negative impact on its surroundings but it is a GMO with the negative connotations in the consumer’s mind. »

    I put this argument to Dr. Richard Smart, one of the world’s leading viticulturists and experts on diseases such as trunk disease. He’s rarely lost for words.

    « The arrival of these new hybrids comes at an opportune time – a period where negative publicity over the usage of pesticides and herbicides in viticulture is rampant, » says Smart.

    « To that end they represent a positive development, at least in terms of helping growers to meet consumer demand. But whether this demand is based on evidence is another matter – the hysteria over the use of chemicals has reached ludicrous levels, spurred on by the press, » he adds.

    The inimitable Dr. Smart is no acolyte of organic and biodynamic viticulture either, citing the « fuss » over biodynamics as ‘ridiculous.’

    « I wish journalists would stop talking-up organic and biodynamic wines, » fumes Smart. « There is no hard evidence that organic or biodynamic viticultural methods improve the quality of the wine, or the health of the vine. For a start, organic viticulture still allows the use of copper via the ‘Bordeaux Mixture’ (bouillie bordelaise) used to protect against mildew. I wonder what would happen if a critical mass of consumers realized that copper was used in producing their organic wine. Copper – hardly the most ‘natural’ of substances. »

    He puts forward a convincing case, although it is clear that the interest from growers in biodynamic viticulture is unlikely to diminish anytime soon. Improvements in hybrid-crossing techniques, coupled with the aforementioned concerns over pest control and chemical usage, undoubtedly provide a fertile ground for these hybrids to flourish, if it can be proven that quality is not sacrificed in the process. Which, of course, remains the major bone of contention for every hybrid skeptic. « I am afraid that a lot of old varieties of grapes will be pulled up to make way for them, especially in southern France, » said winemaker and consultant Thomas Dormegnies. « These laboratory varieties are for industrial winemaking and aim to compete with cheap wines from Spain. They are preparing us for a generation of cut-price wines. »

    The natural corollary of such an observation is George Santayana’s most famous aphorism: « Those who cannot remember the past are condemned to repeat it. » Is France about to repeat the mistakes of previous generations, or are growers poised to overturn outdated prejudice and embrace the future of sustainable vine growing?

    Related story: Hybrids, Crossings and Foxy Wines
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  • HUMOUR : CE QU’ON TROUVE DANS LE VIN

    par mtvadmin | Juil 5, 2019

    Alain Rémond | LA CROIX | 1er juillet 2019

    Je crois que je suis passé à côté de ma vraie vocation. En fait j’aurais du être critique œnologique. Le challenge c’est de trouver dans le vin tout ce qu’on veut, à l’exception du raisin (rappelons que le vin est fait avec du raisin). On voit par là qu’il ne faut pas manquer d’imagination, qualité dont je ne suis pas tout à fait dépourvu.

     

    Je viens de lire la « sélection des meilleurs rosés hexagonaux » parue dans M le magazine du Monde. Et qu’y trouve-t-on d’après les spécialistes maison ?* De la framboise, de la menthe, des fruits mûrs de l’été, de la fraise cuite, des brugnons, des épices, une pointe de cerise, du melon, de la groseille, du pamplemousse (blanc ou rose), de la pêche de vigne, de la pêche blanche, des agrumes, des épices douces, de la bergamote, de l’abricot, du citron, des petits fruits des bois, du poivre blanc, de la réglisse, de la grenade, du cassis, de la mandarine, voire carrément « tout un buisson de baies » (feuilles incluses). Mais aussi (et là il fait un sacré palais pour faire la différence) du « bonbon acidulé » et du « bonbon anglais. »

    Tout cela est bel et bon. Mais tout de même, si je puis me permettre, un peu court. Pour ma part, je me sens tout à fait capable de trouver dans les meilleurs rosés hexagonaux de l’artichaut, de la betterave, du panais, de la courgette, de l’aubergine, du topinambour de la pomme de terre. Et, bien entendu, du chou-fleur de Saint-Paul-de-Léon.

     

    * Dossier « À boire et à liker » (pp. 88-102) coordonné par Agnès Gautheron, réalisé par Denis Barroux, Stéphane Dayet, Laure Gasparotto, Michel Guerrin et Ophélie Neiman. Chapitres : Rosé jeunesse, Aux avants-posts (les tendances 18-35 ans), Coup de chaud (rosé et dérèglement climatique), Paradis blanc (les blancs succèdent aux rouges), Vin de sable émouvant (Domaine royal de Jarras en Camargue), Bouquet final (la sélection des rosés hexagonaux, qui fait tiquer Alain Rémond.)
    ALAIN RÉMOND, chroniqueur quotidien à La Croix, ancien de Télérama, de Paris Hebdo et des Nouvelles Littéraires, est l’auteur d’une trentaine de livres dont beaucoup sont autobiographiques, étant lui-même d’une famille bretonne de 10 enfants.
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