PAIRING A DVD AND A DRINK TAKES CARE
FROM THE NEW YORK TIMES — DINING AND WINE
Matching drinks with movies adds a new dimension to the plot, with different spirits producing different results.
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FROM THE NEW YORK TIMES — DINING AND WINE
Matching drinks with movies adds a new dimension to the plot, with different spirits producing different results.
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COMMUNIQUÉ
LA PASSION DES TERROIRS, maison de négoce de la famille LURTON, publie sa première liste de BORDEAUX PRIMEURS 2009. Les hausses semblent contenues. Certains prix sont bien placés (en gras).
Mais attention, avec la 2ème vague des grands vins (à venir), ils le seront peut-être moins…
Si vous commandez, ne vous fiez pas aux dates de livraison annoncées, elles ne sont généralement pas respectées.
Notations : LP = Le Point (sur 20), RP = Robert Parker, WA = Wine Advocate et WS = Wine Spectator (sur 100).
L’ESTANG – CASTILLON-CÔTES-DE-BORDEAUX, 4,30 € (RP 87-90/100)
SIGOGNAC – MÉDOC, 4,50 € (LP 15/20)
du TAILLAN – HAUT-MÉDOC, 6,50 €
GIRONVILLE – HAUT-MÉDOC, 7,10 € (LP 14, WA 89-91)
MALESCASSE – HAUT-MÉDOC, 8,00 € (LP 14)
CLOS FLORIDÈNE – GRAVES, rouge, 8,40 € (LP 15) (Denis Dubourdieu)
DOISY-DAËNE – BORDEAUX, blanc sec, 9,60 €
CLOS FLORIDÈNE – GRAVES, blanc, 10,80 € (LP 14,5) (Denis Dubourdieu)
Ceci est un communiqué et non une publicité.
Prix départ HT b 75 cl, caisse bois 12 b. La Passion des Terroirs : 05 5783 1010 – Bruno David <brunod@lucienlurton.com> (suite…)
GUY LAINÉ
En Bretagne y a pas que des artichauts les mecs !
Après le Coca-Cola et le whisky breton, la bière bretonne, voici venir le… pinard breton.
Direction Cléguérec pour la réunion annuelle de l’ARVB (Association du Renouveau des Vins Bretons). La plantation de vignes en Bretagne est tolérée dès lors qu’il s’agit d’une production à usage personnel. Ces vins ne peuvent être commercialisés. Transgresser l’interdit pourrait conduire à l’interdiction pure et simple de la viticulure bretonne.
On trouve de nombreuses petites vignes à St Malo, au bord de la Rance, à Dol, Sarzeau, Vannes, Morlaix, Dinard, Crozon, Lorient, Quimper, etc. La production est faible, de 100 à 400 bouteilles par exploitation/an.
Même si jusqu’au milieu du XXème siècle, la presqu’île de Rhuys a été une zone vinicole, Gérard Alle, le président de l’ARBV, nous a expliqué que les vignes en Bretagne n’ont vraiment existé que jusqu’au XIIIème siècle, le commerce maritime se développant à partir de cette époque, a favorisé les vins du sud. Et le phylloxéra a fini d’achever la vigne bretonne. (suite…)
GUY LAINÉ
Après le Palais Gourmand (Ma Route 66 -1), il y avait une suite les mecs !
Une grande balade en tournant autour du Canigou (écrire Canigó, si us plau), aux pics toujours enneigés (2 784 m), impossible de ne pas le voir.
Lundi 29 mars, j’embarquai pour un périple entre vignobles en terrasse sculptés dans la roche dominant la mer, petit train jaune serpentant dans la montagne, plaines qui s’allumaient des colorations naissantes d’amandiers, cerisiers, péchers; et lieux toujours magiques comme Collioure, le village de Céret ou Villefranche-de-Conflent avec ses fortifs Vauban. Et je vous passe les horizons catalans un peu mouvants dans une lumière frisante gris blond, parfois sombre… Et les étapes resto-vin organisées par nos « guides », je vous raconte pas ! Oh si, je vous les raconte.
À Collioure la lumière était voilée, on le voit sur la photo (ci-dessus). Passage au Cellier des Dominicains, une coopé installée depuis 1926 dans un vieux couvent, devenu sous Napoléon arsenal militaire. Histoire de se remettre d’équerre, j’ai dégusté leurs Collioures 2008, en blanc Padreils (grenache gis, vermentino, marsanne), et en rouge St Dominique (grenache noir, syrah, mourvèdre) et Cuvée des culottes (mourvèdre, grenache noir, carignan « de coteaux »); leur rancio sec Taillefert (appellation « VdP côte Vermeille »); et leur Banyuls hors d’âge Augustin Hanicotte. Puis on a débarqué aux Templiers.
GUY LAÎNÉ
Hey! les mecs, j’ai représenté ‘Mtonvin’ fin mars à un événement unique en France : le Palais Gourmand de Perpignan ! Dans mon assiette toute l’offre gastronomique du Roussillon, dans mon verre tous leurs vins.
Une initiative de la CCI et des Pyrénées Orientales (66, comme la Route de Nat King Cole), mise en œuvre avec les Toques Blanches du Roussillon — 50 des meilleurs chefs tenant un restaurant dans le 66, qui s’impliquent dur « dans la mutation que vit aujourd’hui le monde de l’alimentation », qui se tirent la bourre pour renouveler la cuisine catalane.
Ça valait le coup les mecs ! 2 000 personnes naviguaient sans bousculade dans un immense self-service de luxe, 50 € vins compris !
Revue de détail.
Il y avait sous le dôme du palais des congrès (ci-dessous), quinze grandes tablées, chacune avec entrées (11 en tout,) poissons (10 plats), viandes (9) et desserts (9 aussi), et trois stands : charcuteries, fromages et autres produits « de terroir » et, en invitée, la cuisine polonaise (le chou farci, on oublie, les mecs !). On aurait pu perdre le cap, eh non, il y avait toujours une place dans le port (et je sais de quoi je parle). Mais je vais pas énumérer mes expériences ni de marin (cuisine à bord, forcément), ni de gastronome ce soir-là, enfin pas en entier, car j’ai goûté presque tout.
Ce qui m’a frappé c’est l’intelligence et l’adresse des alliances mets/vins : c’étaient les chefs qui avaient choisi eux-mêmes leur vigneron. Et la fraîcheur des produits. Aussi la taille des portions, ni trop ni trop peu, qui nous laissait toujours en appétit. Enfin la sympathie des intervenants, chefs comme vignerons, et la tenue de l’ensemble.