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  • WINE DIPLOMACY

    par mtvadmin | Nov 9, 2019

    French President Emmanuel Macron reportedly brought a bottle of Romanée-Conti 1978 to a private dinner with Chinese counterpart Xi Jinping — after the two leaders enjoyed Cheval Blanc and a Burgundy Grand Cru at a wine tasting in Shanghai to mark a new trade deal.

    From Chris Mercer | DECANTER | November 7, 2019

    Presidents Macron and Xi Jinping enjoy a wine tasting in Shanghai, with sommelier Jean-Marie Pratt (background). Photo Ludovic Marin / AFP / Getty

    Macron and Xi dined together in Shanghai on Tuesday evening (5 November) and the French President offered up a bottle of Romanée-Conti 1978 from Burgundy’s legendary Domaine de la Romanée-Conti, according to France’s Le Monde newspaper, citing sources at the President’s official residence, the Elysée Palace.

    A single bottle of Romanée-Conti 1978 was auctioned for € 21 320 (£ 18 400 by Sotheby’s in Hong Kong in January 2019.

    It is the latest example of wine diplomacy, with Emmanuel Macron having served Château Petrus at a dinner with Xi on the French riviera earlier this year.

    Tasting at Shanghai expo

    Decanter.com can also reveal the wines tasted by the two leaders at the International Import Expo in Shanghai, where they marked a new deal between the EU and China to protect against food and wine counterfeiting.

    They tasted three wines — from Bordeaux, Burgundy and Languedoc-Roussillon — according to Jean-Marie Pratt, the sommelier chosen by the French Embassy to host them at the expo.

    ‘It was an extremely special experience,’ said Pratt, a partner in distribution and consultancy business Liber Wines in China, and also a judge at the Decanter Asia Wine Awards.

    Both leaders tasted all three wines and discussed them, he said, with Xi also commenting on the rising quality within China’s own wine industry.

    The specific wines served at the expo, in order, were:

    — Domaine Louis Latour’s Corton Grancey Grand Cru 2010

    — Gérard Bertrand’s Château L’Hospitalet, La Clape, Coteaux du Languedoc 2016

    — Château Cheval Blanc 2006

    Why was Romanée-Conti 1978 at dinner?

    Choosing one of the most renowned French wines was a way of marking a new deal over protected wine and food names between the EU and China, according to Le Monde, which quoted an Elysée Palace source.

    The 1978 vintage was also recognition of Deng Xiaoping’s arrival as Chinese leader. He is credited with introducing reforms that opened up China’s economy.

    Burgundy 1978 vintage

    It also happens that ‘1978 was the finest vintage of the decade’, according to Decanter expert Stephen Brook.

    However, ‘most of the growing season was awful’, and it was only fine weather from late August onwards that propelled the region’s Pinot Noir grapes to full ripeness, Brook wrote in a ‘Wine Legend’ article for DRC’s La Tâche.

    A new deal to protect famous wine names

    Emmanuel Macron’s visit coincided with a deal between the European Union and China to help prevent counterfeiting of protected names, from Champagne and Bordeaux to Irish whiskey.

    The reciprocal deal gives better legal protection for 100 of Europe’s ‘Geographical Indications (GI)’ in China, and does likewise for 100 Chinese GIs in EU member states.

    ‘It is a win for both parties,’ said European agriculture commissioner Phil Hogan. Pending approval in the European Parliament, the deal will be implemented in 2020.

    Wine dominated a list of 26 French GIs that will benefit from the new deal, according to a list published by the country’s agriculture ministry.

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  • LES VIGNERONNES DE SETÚBAL (2)

    par Daniel J. Berger | Nov 7, 2019

    ERMELINDA FREITAS, UN VRAI SUCCÈS FÉMININ

    La propriété située à Fernando Pó est créée par Déonilde de Freitas en 1920 (à gauche), dans une période de troubles politiques et de désordres économiques de la 1ère République du Portugal.

    Elle la la première femme à cultiver la vigne dans la région.

    Le vignoble devait revenir à son fils, Manuel João de Freitas, mais il meurt prématurément, le laissant à son épouse, Germana (à droite). Avec dynamisme et esprit d’entreprise, la 2ème femme de la lignée agrandit le vignoble à 60 hectares.

    Le fils de Germana, Manuel, disparaît à son tour, et la propriété passe aux mains du mari de sa fille Ermelinda, qui doit prendre la direction de la société quand il décède.

    C’est alors sa fille unique Leonor (1ère à gauche) qui lui succède, quatrième femme à diriger l’entreprise.

    Sa fille Joana, 30 ans (2ème à droite) et 5ème femme de Freitas se prépare à prendre le relais : « après on ne sait pas, » dit-elle en souriant.

    Le destin tragique des hommes a-t-il été le moteur du succès des femmes de cette famille ?

    La partie la plus récente de l’histoire commence à la fin des années 1990 lorsque Leonor de Freitas vient orchestrer l’entreprise avec autant d’agilité que de fermeté. Sous sa conduite, de régionale Casa Ermelinda Freitas devient une société nationale puis internationale, exploitant directement et avec ses viticulteurs partenaires, environ un millier d’hectares, produisant 16 millions de bouteilles et exportant dans le monde entier. La croissance de l’entreprise, où toute la famille travaille, est loin d’être terminée, visant 20 millions de bouteilles dans un futur proche. Casa Ermelinda Freitas vient d’acheter des terres plus au nord, près des rivières Douro et Minho, s’implantant dans trois grandes régions viticoles du Portugal.

    L’ancien chai en ciment, intégré au musée de la Casa Ermelinda Freitas

    Tout le monde s’attendait à ce que son gendre reprenne l’affaire, mais ce n’est pas son mari, c’est elle, Leonor, qui s’impose. Elle entend changer le modèle de l’entreprise : « je voulais innover, faire d’Ermelinda Freitas une vraie marque, élargir la variété de l’encépagement au-delà du castelão et du fernão pires. Mais je devais faire attention aux comportements et aux subtilités du secteur, j’étais surveillée par tout le monde et sur tout, » se souvient-elle, « et j’ai du affronter les professionnels, y compris des cousins qui exhortaient ma mère à se ressaisir si elle voulait ne pas mener notre société à la faillite. » En plus, Ermelinda alors propriétaire officielle, était terrorisée à l’idée que sa fille change le cours traditionnel de l’entreprise, stable depuis 70 ans.

    L’éclairage de ce chai varie de couleur selon les visites, mauve pour celle d’un groupe féminin.

    Tout cela n’arrête pas Leonor, au contraire. Elle lance de nouvelles marques, modifie la chaîne de production pour améliorer la qualité et créer un chai ultramoderne (ci-dessus). Elle doit se séparer, la veille des vendanges, de l’œnologue de la famille, qui n’est pas d’accord avec les innovations de « la citadine–pleine-d’idées-qui-va-bientôt-comprendre-sa-douleur-et-abandonner. » Leonor et son mari doivent mettre aussitôt la main à la pâte, « l’un des nombreux défis qu’elle a relevés, » déclare Jaime Quendera, jeune œnologue de 27 ans sans expérience quand Leonor (tous les deux ci-dessous) le fait venir au moment crucial et auquel elle va accorder sa confiance, entièrement et sans discontinuer jusqu’à aujourd’hui.

    Il ajoute: « lorsque Leonor a émergé, les producteurs de la région n’ont rien vu venir, ils ne pouvaient concevoir qu’une femme et un débutant puissent réussir. Il faut dire que ce qui semble évident aujourd’hui, passer du vin en vrac au vin en bouteille, ne l’était pas du tout alors, » rappelle-t-il, également responsable aujourd’hui du vignoble de la coopérative Pegões, et d’autres, devenu l’un des plus célèbres œnologues de la région Palmela-Setúbal.

    Au début de la mise en place du bag in box les maisons de négoce clientes du vrac « ont pensé que c’était une blague, envoyant avertissements et alertes : nous allions dans le mur, » soupire Leonor. « Début 2000, la société qui nous achetait l’essentiel de la production, en vrac toujours, a coupé les ponts, nous plongeant dans l’insécurité financière pendant deux ans. »

    Leonor veut savoir ce qui se fait dans le monde des vins en bouteille. Avec sa Clio de société, elle part à Bordeaux pour mieux comprendre le savoir-faire des Châteaux, se familiariser avec les nouvelles techniques et les installations modernes, mieux saisir l’importance et la valeur des marques : « cette première visite a été une étape importante, j’ai appris à apprécier le Bordeaux et j’ai vu à quel point les Français le respectent. J’en suis revenue avec un regard différent, j’avais beaucoup appris et la chose dont j’étais sûre, c’est que je ne savais pas… Et dans mon travail,  je ne me suis jamais éloignée de cette humilité. Je souhaite rester « la dame du castelão de Palmela, » le meilleur castelão je pense, cela ne tient pas à moi mais aux trois femmes qui m’ont précédée et qui nous ont laissé de très bonnes vignes. »

    Une partie de l’équipe féminine de Leonor de Freitas

    Elle a surmonté les nombreux obstacles dressés devant elle, comme le manque de confiance à commencer par les collaborateurs qui pensaient que le projet ne marcherait pas. Les pressions notamment envers sa mère toujours propriétaire, qui était bombardée d’alertes traumatisantes : « attention, votre fille a investi le capital de la société, son épargne et ses réserves, et elle a dû recourir à des emprunts bancaires, vous risquez gros. » La bureaucratie qui a fait attendre quatre ans son projet d’expansion pour cause de POS et de schéma directeur municipal, contraignant son équipe à camper dans un entrepôt sous une tente de mariage. La frilosité des propriétaires terriens pour soutenir les vignerons auxquels la société achète leurs raisins, en les aidant à respecter un cahier de charges pour atteindre le niveau de qualité des vignes de la propriété : « ils ont d’abord pensé que c’était une ingérence inacceptable dans leurs pratiques ancestrales. Cela a depuis bénéficié à tout le monde, et en premier lieu au consommateur. »

    Leonor teste un Moscatel vieilli dans une grotte souterraine

    « C’est une force de la nature, rien ne l’arrête, » affirme Lurdes Atalaia, présidente de l’Association des viticulteurs de Palmela (AVIPE), que Leonor avait présidée elle-même, lui insufflant son esprit d’innovation. Elle a imaginé avec pertinence ses gammes de produits, su instaurer le travail d’équipe en valorisant la place respective des salariés dans la chaîne de production et a développé un sens aigu du rapport qualité/prix.

    « Un sens aigu du rapport Q/P »

    « Par son engagement, son enthousiasme, sa détermination et sa puissance de travail, Leonor a été ces quinze dernières années précurseur du grand retournement de Palmela-Setúbal,» assure Lurdes Attalaia, ajoutant « Casa Ermelinda Freitas a montré l’exemple aux producteurs de la région, à laquelle Leonor a apporté une réelle notoriété. »

    Tout cela lui a valu d’être décorée par le président de la République Cavaco Silva venu à Fernando Pó en 2009 lui remettre l’Ordre du Mérite Agricole. Et elle a été reçue par le Pape François au Vatican.

    Sources : Forbes Portugal, Manufacturing Journal, entre autres.

    FAITS ET CHIFFRES

    2 chais : de 1 500 barriques pour fermentation et vieillissement des rouges, rosés, blancs, effervescents; et de 2 000 barriques pour le Moscatel.

    3 lignes d’embouteillages, d’une capacité de 3 000 b/h pour l’une; et 2 de 800/h pour le BIB.

    12 gammes soit 54 vins en bouteilles et 8 en BIB.

    29 cépages dont 40% de castelão.

    40 salariés, dont une majorité d’emplois féminins.

    550 hectares de vignoble, l’équivalent de 455 terrains de football.

    Un musée de l’histoire de l’entreprise.

    Un hébergement œnotouristique.

    Un programme de mécénat et de soutien des artistes et d’animations régionales à caractère artistique.

    DÉGUSTATION 11 OCT 19

    La gamme monocépage, dont le syrah classé en 2004 meilleur vin rouge du monde aux ‘Vinalies Internationales’

    La dégustation à Casa Ermelinda Freitas a couvert une variété de vins milieu et haut de gamme :

    — un effervescent (85% Fernão Pires, 15% arinto), sur les 4 de la gamme (7 €);

    — un rosé 2018 (pinot-merlot), sur les 7 (9 €);

    — deux blancs, un 2018 de la gamme Dona Ermelinda (Fernão Pires, arinto, antão vaz, chardonnay, 4 €) et un 2018 sauvignon-verdelho (9-10 €), sur les 13;

    — trois rouges, un syrah 2017 14° (10 €); un Quinta de Mimosa 2016, 100% castelão, vignes de 60 ans, 3 ans de bouteille : beau vin puissant, mûr et jeune à la fois, frais, persistant (10 €); et un 100%  petit verdot (10 €) qui aurait pu apparaître comme une curiosité, mais que j’ai trouvé très réussi; l’offre Ermelinda Freitas compte 31 rouges en tout;

    — un Moscatel de Setúbal 2009 de très grande classe (35 €), fraîcheur mentholée, large palette aromatique dont la figue, les zests d’agrumes. La gamme en compte 3 : Moscatel, Moscatel Superior, Moscatel Roxo Superior.

    ______________________________________

    Casa Ermelinda Freitas rue Manuel João de Freitas – Fernando Pó 2965-595 Águas de Moura E-mail: geral@ermelindafreitas.pt Tel: (+351) 265 988 000 www.ermelindafreitas.pt GPS: 38.635646, -8.689499


    PROCHAINE ÉTAPE : COOPÉRATIVE DE PEGÕES





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  • BOOZY HALLOWEEN IS OFFICIAL THING

    par mtvadmin | Nov 1, 2019

    By Rachel Tepper Paley VINE PAIR Oct. 27 2019

    Once a holiday for adorably costumed children, Halloween is now celebrated by 72% of American adults, eager to dress up and party down. Sales of adult-sized Halloween costumes are at an all-time high. Theme parks, usually overrun by overstimulated tykes, host a different sort of clientele come October 31: a boozy, over-21 crowd. And liquor companies are taking note.

    According to the National Retail Federation, a staggering 72% of US adults will celebrate this Halloween, compared to just 59 % in 2007. Across industries, Halloween spending has ballooned from $5.1 billion to $9.1 billion in just a decade. It makes sense that alcohol brands — from Sam Adams to Jägermeister to Svedka — want to cash in. Maybe the shift was inevitable. October, with its association with Oktoberfest, has always been synonymous with suds. And as the seasons change, there’s certainly a greater tendency to huddle inside heated homes with an adult beverage. It’s backed up by data: Every year since 2004, individual Google searches for both “wine” and “liquor” have spiked in October and stayed sky-high through the holidays.

    Not a single beer or liquor company could share concrete October sales figures with VinePair; but with all the aforementioned brands running some sort of Halloween-themed promotion in 2017 — many have for several years — it’s safe to assume the holiday presents economic opportunity.

    “Halloween is a huge occasion for 21-29 year olds,” Christopher Dunn, Mast-Jägermeister‘s U.S. brand manager, told VinePair in an email. “Millennials in particular are spending big.”

    For consumers eager to wear their thirst on their sleeve, there’s no shortage of liquor-fueled costumes on the market. Jägermeister recently launched print-out online origami masks in the shape of a skull, bat, and, in a nod to its logo, a stag. This year’s Halloween push centers on banner ads that “haunt” people who watch one of the vodka brand’s spooky videos.

    Despite representing only a fourth of drinking-age adults, millennials account for about a third of overall spirits consumption. For these drinkers seasonal, Halloween-appropriate liquor offerings abound. There’s Captain Morgan’s pumpkin-shaped Jack-O’Blast spiced rum, introduced last year. Pumpkin spice liqueurs from both Kahlua and Bailey’s Irish Cream debuted in 2013 and 2016 respectively. And Pinnacle, Hiram Walker, and Bols all have pumpkin-centric offerings.

    Sam Adams, for its part, has produced its 20 Pounds of Pumpkin seasonal brew since 2010. Even though the pumpkin beer category lost some ground in 2016, interest in flavored beers overall has spiked. According to Technomic, the introduction of flavored beers more than doubled between 2010 and 2015, from 2.4 % to 5.3 % of total beer launches.

    Millennials can claim 35 percent of U.S. beer consumption and 42 percent of wine consumption. Wine labels are now getting in on the action. Black Box Wines told VinePair that merely wrapping its wines in Halloween-ified packaging resulted in a huge boom in sales. In October 2016, sales of wines in Black Box’s limited-edition Halloween sleeve soared above its monthly average. More tellingly, 2016 October sales were 49 % greater than the previous October’s, and this season’s numbers are tracking to be even more successful than the last.

    “Halloween is newer in wine,” said Jaymie Schoenberg, Black Box Wines’ vice president of marketing. “You’ll see some spirits brands leaning into holiday, but over the years, as more pumpkin limited editions come out, it’s increased the way in which adult beverages can be a part of the holiday. It’s a way of positioning Halloween as a little more grown up.”

    Could there be something else at play here, though? Are we consumers being collectively infantilized?

    Is this the liquored-up equivalent of ’90s nostalgia — a desire to trick-or-treat like we did in simpler days, except this time, we’re wasted? Given the ways that nostalgia marketing heavily targets millennials, it doesn’t seem like an unreasonable jump.

    This is a generation accustomed to upheaval, from unceasing tech advances to political tumult.

    There could be something comforting about donning a Miller Lite costume, popping a bottle of Hallowine, and playing make-believe for a few hours.

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